Matadi, 12 mars 2024 (ACP).- Un plan de communication dans la surveillance transfrontalière a été élaboré mardi, lors d’un atelier organisé à Matadi au Kongo Central, dans le sud-ouest de la République démocratique du Congo, par le ministère de la santé en collaboration avec l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), a appris l’ACP de source administrative.
‹‹ Nous étions en mission de renforcer la communication au niveau de nos différents points d’entrée, mais avant ça il fallait mettre en place une planification des activités. D’où un plan de communication a été élaboré pour prendre en compte toutes les activités menées au niveau des points d’entrée ››, a indiqué M. Gédéon Mbiya, chargé de communication au programme national de l’hygiène aux frontières.
‹‹ L’idéal est que chaque point d’entrée doit avoir un plan de communication, donc nous avons commencé à faire une évaluation de risques spécifiques au point d’entrée MGT. Il ne pouvait être fait sans une analyse de situation de la communication au niveau de ces points d’entrée ››, a-t-il renchéri.
Au cours de cet atelier financé par la Banque mondiale, un message de sensibilisation pour permettre aux prestataires de rappeler l’importance de la communication aux frontières a été également élaboré tout en tenant compte de l’évaluation de risques.
Cet atelier a réuni les prestataires de deux structures sanitaires au niveau des points d’entrée, notamment du Programme national de l’hygiène aux frontières (PNHF), du Service de quarantaine animale et halieutique SQAH ainsi que les membres de zone de la santé, signale-t-on. ACP/Kayu
